Nicolas Brousse

La politique, Nicolas Brousse est un peu tombé dedans quand il était enfant. Pour lui, s’engager était une évidence.

« Ma volonté de m’engager, je la tiens de mes grands-parents, explique-t-il simplement. Mon grand-père était maire d’Albignac, comme l’avait été avant lui son père. Quant à ma grand-mère, Marie-Claude Brousse, elle a été adjointe à Brive sous Charbonnel, puis sous Murat. Tous deux m’ont transmis le goût des autres, l’envie de servir et celle d’être utile ».

A 28 ans, Nicolas témoigne que le talent n’attend pas le nombre des années. S’il a l’enthousiasme contagieux, il n’en garde pas moins les pieds bien arrimés sur terre. Lorsqu’on le rencontre, on est frappé par sa grande maturité, son sens de l’écoute et cette façon bien à lui de placer son interlocuteur au centre du débat. Une idée, une suggestion, une remarque et il la note sur son carnet de route pour y revenir plus tard et n’oublier aucune sollicitation.

« Je suis un homme d’engagements ». 

Lui pose-t-on une question et il répond sans   détours. Sans langue de bois, sans tabous, assumant parfaitement son ambition d’agir et de participer au débat politique en dehors de tous clivages et politique politicienne. 

« Le monde est devenu complexe avec, entre autres, le retour de la guerre en Europe, les     enjeux liés au réchauffement planétaire, ainsi que les inégalités qui se creusent. Pour répondre à ces défis majeurs, il nous faut dépasser les clivages partisans.

Nous devons saisir cette opportunité décisive et unir nos forces à travers cette vision novatrice de la politique portée par Emmanuel Macron ». 

« La Corrèze doit avoir sa voix au chapitre au sein d’une majorité la plus large qu’il soit ».

Son parcours a sans nul doute contribué à façonner la personnalité de Nicolas et à lui donner le goût du terrain. « J’aime les gens. J’ai grandi dans le dialogue et l’échange, en apprenant à ne pas céder aux sirènes du cynisme ».  

 « J’aime les gens. Je me suis frotté à d’autres cultures, j’ai grandi dans le dialogue et l’échange, en apprenant à ne pas céder aux sirènes du cynisme ».  

Aujourd’hui, Nicolas navigue entre Paris où il  travaille (dans un grand groupe spécialisé dans les métiers liés à l’environnement) et Brive, où il a une partie de sa famille. 

« C’est ma terre de cœur, l’endroit où je me ressource et où j’ai mes racines. Je me sens bien ici, et j’ai la volonté d’être utile à la Corrèze ».